Neutraliser les gènes des cellules graisseuses

Il est scientifiquement vérifié que certaines personnes sont prédisposées par leurs gènes à développer de la masse grasse. C’est bien évidemment une différence importante entre les femmes et les hommes, ces premières ayant un pourcentage plus important de masse grasse (environ 12%) à profil comparable. Ceci est dû en grande partie aux besoins d’énergies augmentés lorsqu’elle porte leur progéniture. Mais il existe également des différences génétiques importantes entre les hommes, ou les femmes entre-elles. Pour autant, cela n’implique pas forcément que l’on sera en surpoids ou obèse car l’expression des gènes en question nécessite l’exécution de conditions les activant. Voici, quelques astuces pour limiter l’expression des gènes de l’adiposité.

  • Exposez-vous à la lumière

Le rôle de la lumière sur la régulation de nos rythmes naturels et notre métabolisme est de plus en plus clair scientifiquement. Des recherches récentes publiées dans la revue PLOS ONE ont révélés que l’exposition directe à la lumière du soleil entre 8h et 12h réduit le risque de surpoids. Ceci indépendamment du niveau d’activité physique, de l’apport calorique ou de l’âge. La lumière activerait le métabolisme de dépense énergétique et mettrait en sommeil les gènes du tissu adipeux.

  • Faites de l’activité physique

Cela est sans aucun doute l’un des facteurs les plus redoutables. La pratique régulière et continue d’une activité physique entraîne dans votre corps une cascade de réactions et d’adaptations qui favorise l’utilisation énergétique par les muscles. A la manière de vases communicants, plus votre organisme renforce sa capacité à utiliser de l’énergie moins il utilise celle du stockage. Les résultats les plus importants se produisant pour les personnes réalisant avec constance entre 3h30 et 5h30 d’activités physiques modérées par semaine.

  • Réduisez vos apports en graisses saturées et en sucre

La qualité de votre alimentation joue un rôle prépondérant dans l’activation des gènes. Bien qu’indispensables à notre fonctionnement, les graisses saturées et les sucres à index glycémiques doivent être consommés en faible quantité, notre alimentation moderne en contenant excessivement. A apports caloriques égaux, ces macronutriments sont des alliés de choix pour ouvrir la voie à la surcharge pondérale. D’après les chercheurs, ce phénomène s’expliquerait par un facteur épigénétique lié notamment au métabolisme de l’insuline.

  • Limitez les antibiotiques

Les antibiotiques permettent la destruction de bactéries néfastes à notre organisme. Pour autant, ils sont incapables de faire la différence entre bonnes et mauvaises bactéries. L’utilisation d’antibiotiques a donc un impact direct sur notre fonctionnement intestinal en détruisant notre flore. Imaginez assez tragiquement ce qu’il reste d’un paysage après une catastrophe naturelle ou atomique … rien. Votre intestin devient ainsi poreux à des substances qu’il ne devrait pas laisser passer et perd sa capacité à fabriquer les acides gras à chaînes courtes (AGCC) qui contribuent à réguler les gènes de l’adiposité corporelle.

Au delà de toute connaissance scientifique, je pense que ces conseils sont maintenant connus de nous tous. Il s’agit de faire preuve de bon sens et de décider de changer les choses pour soi, d’autant plus si votre patrimoine génétique ne vous aide pas. Gardez à l’esprit qu’il n’y a pas de fatalité !

Je suis coach sportif Domicil’Gym en Haute-Garonne plus précisément dans la region de Colomiers (31770), Leguevin (31490), Pibrac (31820), Lisle Jourdain(32600) et Cadour (31480).

http://coach-colomiers.domicilgym.fr/

Cartouche DENIAU

Comment brûler plus de graisses lorsque je cours ?

Courez plus longtemps, pas plus vite.

Afin de parvenir à fournir l’effort nécessaire le corps va brûler des calories, ainsi plus l’effort est intense plus le nombre de calories dépensées est important. Cependant et encore plus dans le cadre de la perte de masse grasse, mieux vaut privilégier l’allongement de l’effort avant d’en augmenter son intensité. Un effort trop intense diminuera grandement la durée de votre effort, l’avantage se changeant en désavantage car le nombre de graisse utilisé se verrait grandement réduit ! De plus, au delà de 60 minutes d’effort continu le corps est délesté des sucres et vient naturellement utiliser en majorité les graisses.

Variez vos entraînements.

Notre corps à une incroyable faculté d’adaptation afin de se stabiliser quel que soit l’effort auquel il est soumis, si celui-ci se répète fréquemment. Il est ainsi nécessaire toute les 4 à 6 semaines de « casser la routine » et d’intégrer des efforts différents. Si vous avez l’habitude de courir à une allure régulière, intégrez progressivement des intervalles ou vous accélérez, ou ajoutez à votre routine quelques exercices de renforcement musculaire parsemés tout le long de votre parcours.

Surveillez votre alimentation.

Enfin, notre organisme est un fainéant ! Il fonctionne avec la logique du moindre effort. C’est pourquoi, il est important de vous rationner avant, pendant et après l’effort. Évitez d’effectuer un repas complet avant votre entrainement, limitez-vous lors des efforts intenses et supérieur à une heure à un fruit pour vous sucrer. Enfin, le métabolisme énergétique possède une certaine inertie dont la durée est proportionnelle à l’intensité de l’effort, décalez ainsi votre repas d’une à deux heures après votre effort physique afin de maximiser l’utilisation de vos réserves.

http://coach-candelon.domicilgym.fr/contactez-moi-par-email

cartouche candelon