Le MORINGA: l’arbre aux multiples vertues

On entend de plus en plus parler du moringa oleifera, mais qu’est-ce que c’est?

Le moringa  est un arbre originaire des Indes qui a un potentiel nutritionnel impressionnant. Il existe 13 catégories dont la plus connue est l’oleifera.

Des analyses nutritionnelles ont montré que les feuilles de Moringa  sont plus riches en vitamines, minéraux et protéines que la majorité des légumes. De nombreux programmes sont en cours pour développer cette utilisation. Toutefois l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé)  a refusé de reconnaître les feuilles de cette plante comme un complément nutritionnel légal par principe de précaution (manque d’analyses).

Selon les analyses actuelles, les feuilles de moringa contiendraient deux fois plus de protéines que le yaourt, 3 fois plus de potassium que la banane, 4 fois plus de calcium que le lait, 7 fois plus de vitamine C que les oranges et 4 fois plus de vitamine A que les carottes, et contiendraient les 8 acides aminés essentiels.

En médecine traditionnelle, le moringa peut être utilisé pour de nombreuses applications. Toutes les parties de cette plante peuvent être utilisées mais principalement ses feuilles, en raison de leur richesse nutritive. Elles sont sources de protéines végétales, de vitamines B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, A, C, E, de minéraux (potassium, calcium, magnésium, fer, manganèse, sélénium), d’acides aminés. On lui attribue beaucoup de propriétés : antidiabétique, vermifuge, soins cutanés, renforcement des défenses immunitaires, digestion et transit… Quant aux racines, elles contiendraient  un puissant antiseptique.  L’on peut s’en procurer en pharmacie ou en magasins diététiques et spécialisés, sous forme de poudre ou en gélules.

L’autre atout du moringa est qu’il est résistant à la chaleur et à la sécheresse, et qu’il est facile à cultiver. C’est pourquoi, dans des pays arides comme le Niger où l’agriculture est quasi impraticable et où la malnutrition est endémique, le moringa est une réelle bénédiction. Ainsi, plusieurs projets de culture de moringa ont vu le jour depuis les années 1980 en Afrique.

Il convient d’avoir une alimentation équilibrée et de manger des fruits et légumes tous les jours. Il convient également de pratiquer une activité physique régulière pour être en bonne santé.

Je mets toute mon expertise à votre service afin que vous puissiez atteindre vos objectifs dans les domaines de la performance, de la remise en forme, de la prévention et de la santé.

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La bigorexie ou l’addiction au sport…

On parle beaucoup de la sédentarité et de ses effets néfastes sur la santé et à l’heure ou quasiment 1 français sur 2 souffre de surpoids ou d’obésité, il existe un phénomène complètement à l’opposé : LA BIGOREXIE.

La bigorexie résume l’addiction au sport dont souffrent de nombreux athlètes professionnels et amateurs. Elle est désormais reconnue par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

Le corps médical a découvert l’addiction au sport dans les années1970, dans le milieu de la musculation. « À l’époque, les accros cherchaient à accroître leur masse musculaire à tout prix, détaille Jean-Christophe Miniot. On parlait alors de bigorexie. »

Désormais, cette addiction touche principalement les sports d’endurance : la course à pied arrive en tête suivi par la natation et le vélo. Après environ 40 minutes d’efforts, le corps sécrète des endorphines (hormone du plaisir) dont les effets sont proches de ceux de la morphine. Cette molécule naturelle déclenche (ce que les Américains nomment) ‘le runner high’, autant dire l’ivresse du coureur.

Le Dr Aviel Goodman, psychiatre américain décrit la bigorexie comme « un besoin irrépressible et compulsif de pratiquer régulièrement et intensivement une ou plusieurs activités physiques et sportives, et ce malgré des conséquences négatives à long terme sur la santé physique, psychologique et sociale ».

 

Comment déceler un comportement bigorexique ?

 

  • Physiquement : La recherche d’un corps parfait peut être un élément déclencheur.
  • Psychologiquement :Ces personnes rassemblent des signes du syndrôme dépressif. le sport prend le contrôle de leur quotidien.
  • Socialement :Prisonniers de leur pratique sportive, ils tournent souvent le dos à leurs amis (jugés pas assez sportifs) voire à leur famille (considérée comme pas assez compréhensive).

 

Un coach sportif peut avoir un rôle à jouer dans ce genre de comportement car il dispose d’un crédit sur le plan sportif. Le coach sportif peut conseiller sur la fréquence des séances et la quantité à respecter pour tenter de ralentir la frénésie de ces sportifs.

http://coach-paba-campi.domicilgym.fr

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Interview de Nicolas PABA-CAMPI, coach sportif à Béziers

Nicolas PABA-CAMPI s’est prété au jeu des questions-réponses ! Voici son interview :

1/ Peux tu nous décrire le parcours qui t’a amené à devenir coach sportif ?

Ancien rugbyman de haut niveau chez les jeunes, j’ai lutté pour pouvoir continuer des études supérieures et réussir à obtenir un master 2 avec mention.

Malheureusement, ce rythme effréné et les trop nombreuses blessures m’ont forcés à renoncer à une possible carrière de sportif professionnel.

Cela m’a néanmoins permis de concrétiser mon parcours universitaire.

Je me suis ainsi lancer dans la vie professionnelle avec de très nombreux bagages .

Après un poste de gérant de salle de musculation, j’ai décider de développer ma propre activité afin de m’épanouir et de dispenser mes connaissances et proposer mes compétences pour les particuliers.

 

2/ Qu’est ce qui te plaît le plus dans le coaching ? Selon toi, quelles sont les qualités requises pour être coach?

Ce qui me plait le plus dans le coaching c’est pouvoir exprimer et utiliser à bon escient mes connaissances et mon savoir faire afin de réaliser les objectifs de chacun tout en gardant une approche humaine, professionnelle et bienveillante dans mon travail.

 

3/ En tant que coach , quelle est ta devise?

« Never give up »

 

4/ Une anecdote que tu aimes raconter sur ton job?

La fierté d’avoir fait perdre à une de mes élève 60% de sa masse corporelle, ce qui représente pour elle une perte de 120 kg en 15 mois, qui dit mieux ?

 

5/ Où travailles tu actuellement ?

Sur Béziers et ses alentours

 

6/ Comment commencer une activité physique alors que l’on est débutant ? quels conseils pourrais tu donner à un débutant?

Il faut avant tout démarrer progressif et petit.

Se fixer des objectifs raisonnables et atteignables afin de créer une dynamique positive de réussite et éviter la démotivation et/ou l’épuisement.

 

7/ Quel est le matériel que tu utilises le plus?

le TRX

 

8/ Quel est le plus beau défi que as réussi à atteindre avec un de tes clients? 

Mon plus beau défi personnel a été de permettre à une de mes élève de se passer des séances d’ostéopathie grâce aux cours de pilâtes et de renforcement.

Cette personne tournait à 2 séances d’ostéopathie en moyenne par mois à cause de problèmes de lombalgie chronique, nous travaillons ensemble depuis 4 ans et cela fait plus de 2 ans qu’elle n’a pas eu recours aux services d’un ostéopathe.

 

9)Pourquoi avoir choisi le réseau Domicil’gym?

Car en 2008 lors de mes recherche sur le coaching libéral sur internet, c’est le premier et le seul réseau national de coaching sportif que j’ai trouvé et il m’a permis d’ouvrir ma franchise sur ma Ville.

 

Retrouvez Nicolas PABA-CAMPI directement sur son site internet : http://coach-paba-campi.domicilgym.fr

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